• EQUIPE MEDIA

    Une équipe média au top!

    Les éditions EAUX TROUBLES bénéficient des compétences et du dynamisme hors du commun d'une équipe formidable!

     

     

    Aurélie Grao: responsable des relations presse EAUX TROUBLES en Suisse.

    a.grao@mediaimpact.ch

     

      

    Anne-Sophie Dekeyser: responsable des relations presse EAUX TROUBLES en Belgique.

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    Gilles Paris: responsable des relations presse EAUX TROUBLES en France.

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     Eric Biville: responsable salons et dédicaces auteurs EAUX TROUBLES.

    ericbiville@live.fr

     

  • Quand l'université de Liège conseille Panique au Vatican de Mark Zellweger comme lecture de l'été, extra! Un grand merci à Michel Paquot.

    Culture Université de Liège

    Culture Université de Liège


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  • Cassiopée, une critique pointue du thriller nous livre une chronique fort intéressante de Panique au Vatican et gratifie le roman de 4* sur cinq sur le site d'Amazon, Merci!

    Panique au Vatican, de Mark Zellweger. Une chronique de Cassiopée du 04.05.2015

    Chronique de Cassiopée

    Deuxième opus de la série Réseau Ambassador, ce livre peut être lu de façon indépendante, bien que les personnages récurrents soient présents.

    Mark Zellweger, ancien conseiller stratégique auprès de divers services de renseignements, connaît bien le milieu qu'il évoque dans ses romans. Mais il a l'intelligence de rester dans l'action, le suspense et de ne pas mêler ce qu'il a vu et connu à ce qu'il décrit. Cela lui sert certainement de terreau mais sans plus, les situations qu'ils présentent ne sont que pure fiction…enfin c'est ce qu'il dit car immanquablement quelques similitudes avec des personnages de notre temps peuvent donner à réfléchir. La jeune femme qui a épousé un prince et qui rêve de liberté, un Pape (asiatique !) qui veut bousculer une certaine rigueur … Je laisserai chaque lecteur penser ce qu'il veut….

    Le premier tome de cette série ne m'avait pas vraiment conquise, j'avais trouvé trop d'approximations dans la langue et ceci m'avait beaucoup dérangé. J'ai trouve celui-ci, sans être une réussite complète (il manque, sans doute, à mon goût, un peu de profondeur aux personnages….), beaucoup plus « abouti ».

    Plusieurs situations sont mises en place, dans différents lieux du globe et pour lesquels les « Faucons » devront agir. Nous suivons les diverses stratégies mises en place dans le détail (c'est d'ailleurs très

    intéressant de voir comment elles sont « montées »). On observe également les relations entre les

    différents protagonistes et la place de chacun. Travailler en famille n'est jamais facile et c'est confirmé avec des relations un peu houleuses entre Mark Walpen créateur du Sword (le service de renseignements géostratégiques indépendant basé en Suisse qui emploie les Faucons) et son père Ralph, diplomate de son état. D'autant plus que l'un des deux, amoureux, perd une bonne partie de son sens commun. Le fait que le Sword soit neutre et ne dépende de personnes me plaît bien, cela évite des interactions politiques trop importantes et surtout des choix qui, eux, ne seraient pas forcément impartiaux pour ceux qui y travaillent. Malgré tout, je me pose la question du financement et du comment un tel groupe pourrait se faire connaître s'il existait réellement … Il faudra que je me penche sur la question…..

    La construction faite de chapitres vifs et rapides, passant d'une situation à une autre, installant tous les décors avant de passer au grand rush et aux différentes attaques, permet au lecteur de se familiariser avec tous les individus, de repérer les lieux évoqués (cartes à l'appui en début de recueil) avant de pénétrer dans le vif du sujet. Tout cela est habilement mené mais reste malgré tout, un peu superficiel, très visuel, comme s'il s'agissait d'un film plus que d'un récit. Ce n'est pas mauvais mais peut-être un peu trop « lisse », manichéen. Heureusement, l'un des Zellweger est un peu « à côté de ses pompes » et cela permet de

    belles empoignades et des discussions agitées (peut-être que cet aspect aurait pu être approfondi).

    L'écriture est fluide, agrémentée de nombreux dialogues qui donnent du rythme à l'ensemble. Une lecture qui plaira à ceux et celles qui apprécient les pages sans temps mort avec des individus méchants ou sympathiques, des intrigues claires sans ramification.

    Tout cela se lit vite et bien.

    Cassiopée

    www.unpolar-hautetfort.com


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  • Une très belle chronique d'une lectrice et blogueuse! Merci.

    25 Avril 2015

    Publié par Velidhu

    Panique au Vatican de Mark Zellweger

    « Panique au Vatican » c’est de l’action et du dépaysement garanti. Mais c’est aussi une belle brochette de personnages bien ancrés dans leur rôle d’agents secrets tout en étant profondément humains et attachants. Ajoutons à cela une touche d’humour et vous tenez entre vos mains le roman idéal pour passer d’excellentes soirées.

    On ne peut que louer la façon avec laquelle Mark Zellweger porte de l’attention aux détails. Tout nous est expliqué, de la sélection des Faucons au choix des armes ou des différentes stratégies à adopter. Mark Zellweger a été consultant en stratégie pendant plus de trente ans, ce qui apporte, bien qu’elle ne soit que fiction, une certaine crédibilité à cette histoire et à la façon dont elle a été gérée.

    J’ai beaucoup aimé ce roman qui m’a fait passer un excellent moment de détente, car c’est là aussi la force de « Panique au Vatican », faire d’une lecture de qualité, un moment de plaisir.

    Merci aux éditions Eaux troubles pour ce roman que j'ai gagné grâce au concours sur leur page FB ainsi qu'à Mark Zellweger pour sa dédicace. Il avait raison, j'ai reçu de quoi égayer mes soirées !


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  • Un immense merci à Patricia Beauverd qui suit Mark Zellweger depuis son premier ouvrage et apprécie son style unique pour des thrillers géopolitiques.

    Livre — 20 avril 2015 at 6:02 

    Panique au Vatican

    Auteur 

    Panique au Vatican

    Panique au Vatican

    Dans ce deuxième roman, nous retrouvons Mark Walpen, patron du département de géostratégie, “le Sword”, le seul service secret non gouvernemental, indépendant et neutre au monde, basé à Lutry et qui se compose entre autres d’une unité de combattants triés sur le volet, issus des meilleures forces spéciales du monde, on les appelle les “Faucons”. Ils sont très unis et liés par une complicité et une camaraderie sans failles.

    Le Sword est généralement appelé à la rescousse pour aider à résoudre une crise majeure, et cela peut être n’importe où dans le monde.

    Après avoir libéré une princesse d’origine australienne retenue malgré elle dans une principauté italienne, le Sword est mandaté par de grands dirigeants politiques et religieux pour résoudre plusieurs crises se déroulant simultanément dans plusieurs pays tels que le Tibet, la Chine et l’Italie. De hauts dignitaires ont été kidnappés et c’est tout l’équilibre géopolitique mondial qui est menacé. C’est ainsi que tous les “Faucons” ont été déployés aux quatre coins du monde.

    Il aura fallu pas moins de 520 pages pour résoudre ces crises et on en aurait volontiers souhaité d’autres pour continuer à dévorer ce thriller. Le premier opus était prometteur, ce deuxième dépasse largement nos attentes. Le suspense est souvent à son comble et l’écriture fluide de l’auteur nous permet de nous transposer sans détour dans toutes les situations comme si nous y étions. Magistral et bravo pour la touche helvétique.

     

    Panique au Vatican
    Auteur : Mark Zellweger
    Editeur : Eaux Troubles

    www.thrillers-editionseauxtroubles.com

    Note de la rédaction
     
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  • Un grand merci à Paul Maugendre pour sa chronique du 18 avril. 

    18 avril 2015

    Dormez tranquille braves gens, le pape veille...

    Mark ZELLWEGER : Panique au Vatican.

    Pour Mark Walpen et son père Ralf, les vacances de Noël, c'est sacré. Alors même si une affaire se présente, que leurs compétences sont requises, ils ne s'attaqueront au problème qu'une fois les fêtes de fin d'années fêtées dignement.

    Mark passe à Zermatt ces quelques jours en compagnie de ses jumeaux, Elliott et Zoe, ce qui lui reste de sa famille avec son père Ralph. Sa femme est morte ainsi que son autre fille dans les attentats du 11 septembre 2001.

    Mais peu avant Noël Mark ne perd pas pour autant le Sword de vue. Une réunion de recrutement est programmée justement à Zermatt dans une résidence, le Gornergrat Learning Center, qui lui appartient et aménagée comme un bunker à Zermatt justement. De nouveaux membres vont être recrutés selon des profils bien définis afin de renforcer les Faucons. Mark est assisté de quelques amis fidèles, dont le colonel Paul de Séverac ou encore Rebecca Leibowitz.

    Enfin il va pouvoir se consacrer entièrement à ses jumeaux, ou presque. Son amie Anook semble contrariée, mais il ne s'agit que de malentendus vite dissipés après une discussion franche. Et Mark passe beaucoup de temps à s'informer, lire les journaux ou écouter la télévision, chaînes d'infos évidemment.

    Deux jours auparavant, Ralph Walpen a reçu dans son bureau à Berne une mère de famille éplorée. Son rôle de diplomate, chargé du réseau Ambassador, l'amène à régler des questions épineuses, et lorsque nécessaire c'est son fils Mark et son service de renseignement non gouvernemental, indépendant et neutre, le Sword, qui prennent le relais en solutionnant les problèmes grâce à une cellule d'actions clandestines, des hommes et des femmes super entraînés provenant de divers services et pays, n'ayant qu'un seul idéal, résoudre les difficultés sans passer par des services officiels qui sèmeraient la pagaille.

    Ralph reçoit donc Hannah Parker, avocate, qui arrive directement d'Australie, Sidney très exactement. Sa fille Kathleen, qu'elle n'arrive plus à voir depuis de nombreux mois ou même à joindre par téléphone, est mariée au prince Paolo Spinola, futur grand-duc de la principauté de San Martino della Cima. Le grand-duché fait barrage, et la seule fois où elle a pu communiquer avec elle, Hannah avait trouvé sa fille effrayée et surveillée en permanence. Kathleen et le prince n'ont pas encore eu d'enfant, et elle se rend de temps à autre dans une clinique gynécologique pour des examens. Ralph promet à Hannah de s'occuper de ce cas épineux, mais pas avant le lundi 4 janvier. Il lui offre de séjourner au Matterhorn Palace, son domicile habituel à Berne et dont il est propriétaire, puis de passer Noël à Zermatt en sa compagnie afin d'étudier la question avec son fils Mark.

    Mark n'est pas contre cette invitation, du moment que cela n'interfère pas la réunion familiale, de plus cela changera les idées de Ralph qui a perdu sa femme quelques années auparavant.

    Noël et le 1er de l'an sont passés, les affaires vont pouvoir reprendre, et c'est chargé.

    Plusieurs événements se bousculent, se télescopent, comme autant de comédons, d'éphélides, ou de furoncles sur la face du monde.

    Des incidents violents, et des attentats se produisent en Chine et au Tibet et tout naturellement le gouvernement chinois accuse les Tibétains et le Dalaï-lama d'en être à l'origine.

    Au Vatican quatre cadavres sont découverts en début d'après-midi dans la résidence personnelle du commandant de la garde. Ce dernier ainsi que sa femme, un caporal et un hallebardier ayant tous succombé à une balle de 9mm. Selon le porte-parole du Vatican, le caporal aurait perpétré ce crime avant de se donner la mort.

    Le Pape Anastase V, nouvellement élu et Chinois d'origine, se fait remarquer par ses prises de position nettement plus humaines que ses prédécesseurs. Et il veut faire le grand ménage parmi le clergé et permettre que les prêtres pédophiles soient jugés. En ce début d'année il entreprend un long voyage qui le mène d'Australie jusqu'à Hong-Kong. Seulement arrivé à Hong-Kong, un communiqué précise qu'étant malade, sa tournée est pour le moment ajournée. Le SRAS ou le H1N1, quelque chose dans ce genre l'obligerai à se calfeutrer dans sa chambre d'hôtel. Mais selon quelques sources autorisées, il aurait été enlevé.

    Le 5 janvier Ralph Walpen est à Paris et il a un rendez-vous dans un café avec un représentant spécial qui n'est autre que Tenzin Gyatso. C'est à dire le Dalaï-lama en personne qui souhaite que la Task Force dont Ralph Walpen est le représentant, et le Sword dirigé par Mark, enquêtent sur les accusations d'attentats et incidents diplomatiques entre son pays et la Chine. Il est persuadé que les Tibétains n'ont rien à voir dans ces événements tragiques, même si les plus jeunes semblent moins pacifistes que leurs ancêtres.

    La cellule de crise du Sword est activée et tandis que neuf membres des Faucons, répartis en trois groupes vont procéder à l'exfiltration de la princesse de la clinique où elle est en résidence surveillée, d'autres vont s'infiltrer au Népal afin de découvrir l'origine des attentats.

    Ralph honore un autre rendez-vous qui lui a été proposé, sinon imposé, à Pékin dans le cadre de ses fonctions de diplomate. Le président chinois Zhang Ying Ye le rencontre en personne et en toute discrétion. Il se défend d'être à l'origine des attentats, et de plus d'avoir eu une discussion fructueuse avec le pape Anastase V, concernant de nombreux points politiques et servant d'entremetteur entre Tenzin Gyatso et lui-même. Et à la tête du gouvernement chinois, les conflits d'intérêt et de personnes ne manquent pas.

     

     

    Bien que l'auteur affirme que toute ressemblance avec des personnages ou des événements existants ou ayant existés, ne serait que pure coïncidence, le lecteur ne pourrait s'empêcher de plaquer des noms et des visages sur certains des figurants de cet ouvrage, et se remémorer des événement ayant défrayé la chronique quelques années auparavant. Par exemple l'assassinat au Vatican, le 4 mai 1998, d'Aloïs Estermann, le chef des gardes suisses, nommé la veille, de son épouse et d'un jeune vice-caporal de la garde. Selon l'enquête menée en interne, ce jeune garde, Cédric Tornay, aurait laissé une lettre de suicide adressée à sa mère et justifiant son geste. Mais la mère a toujours refusé d'accepter les faits tels qu'ils ont été supposés se dérouler, mettant en doute l'authenticité de cette lettre.

    Quant à la Principauté de San Martino della Cima et la princesse Kathleen Parker, australienne, on n'est pas obligé de les comparer avec une célèbre principauté enclavée de la Côte d'Azur et dont une princesse est d'origine rhodésienne (le Zimbabwe actuel) et ancienne championne de natation sud-africaine. Tout ceci n'est que coïncidences.

     

    C'est méthodique, précis, méticuleux, comme assemblé par un horloger helvète minutieux mais c'est également lent et longuet même si c'est calibré à la seconde et au millimètre près. Si le récit en lui-même est intéressant, cela traîne en longueur et perd de sa force, de son intérêt par des dialogues, notamment lors des prises de décision, et des descriptions interminables, à l'instar des diplomates qui expriment en trois heures ce qui pourrait être dit en trois minutes.

    Ceci n'est pas destiné à un lecteur boulimique pressé de connaître l'épilogue mais plutôt à un amateur de jeu de stratégie, ou tout doit être pensé, mesuré, analysé, prévu, avec des solutions de rechange en cas de défaillance dans l'accomplissement d'une opération.

    Evidemment l'auteur se base sur sa propre expérience et de ses connaissances approfondies de la géopolitique internationale et de sa compréhension des services secrets, puisque, nous l'apprend la quatrième de couverture, il a été conseiller spécial auprès de directions des actions clandestines appartenant à de grands services de renseignements.

     

    Mark ZELLWEGER : Panique au Vatican. Thriller. Editions Eaux Troubles. Parution le 26 février 2015. 522 pages. 23,00€.


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